L’accès à des données de plus en plus massives a considérablement changé les manières de représenter la santé et le vivant. Dans ce contexte, il est nécessaire de développer des modèles statistiques adaptés à la fois aux problèmes biologiques et aux problèmes dus à la grande dimension des données. En particulier nous nous intéressons au développement des méthodes statistiques utiles lors des études d’association entre l’environnement et le génome.